Le troisième ami de la France dans la sous-région (après Ouattara et Macky Sall), Mohamed Bazoum, a chaud. Les Anti-Barkhane regroupés pour la plupart dans le Mouvement M62 ont lancé une pétition mercredi, 17 août, après avoir essuyé le refus du maire de Niamey d’organiser une marche contre la présence de Barkhane au Niger. Ce refus de la société civile nigérienne d’accepter la présence de Barkhane, complique et fragilise la position du président Bazoum, qui est déjà accusé de brader les intérêts du Niger. Le M62 dit avoir décidé « de lancer une pétition en ligne contre la présence de Barkhane au Niger », pour que le régime du président, Mohamed Bazoum, la « fasse partir de notre pays », ainsi que « toute autre force maléfique dont l’objectif est de déstabiliser et/ou piller les ressources de notre pays et du Sahel ». Comment Bazoum va-t-il gérer cette situation alors qu’il passe son temps à insulter les « colonels » de Bamako qui, au lieu de « rester dans les casernes » s’invitent en politiciens ? Visiblement, dans les casernes du Niger et au sein de la population, aussi, les « colonels » de Bamako semblent avoir le vent en poupe.
Français▼
X
Afrikaans Shqip አማርኛ العربية Հայերեն Azərbaycan dili Euskara Беларуская мова বাংলা Bosanski Български Català Cebuano Chichewa 简体中文 繁體中文 Corsu Hrvatski Čeština Dansk Nederlands English Esperanto Eesti Filipino Suomi Français Frysk Galego ქართული Deutsch Ελληνικά ગુજરાતી Kreyol ayisyen Harshen Hausa Ōlelo Hawaiʻi עִבְרִית हिन्दी Hmong Magyar Íslenska Igbo Bahasa Indonesia Gaelige Italiano 日本語 Basa Jawa ಕನ್ನಡ Қазақ тілі ភាសាខ្មែរ 한국어 كوردی Кыргызча ພາສາລາວ Latin Latviešu valoda Lietuvių kalba Lëtzebuergesch Македонски јазик Malagasy Bahasa Melayu മലയാളം Maltese Te Reo Māori मराठी Монгол ဗမာစာ नेपाली Norsk bokmål پښتو فارسی Polski Português ਪੰਜਾਬੀ Română Русский Samoan Gàidhlig Српски језик Sesotho Shona سنڌي සිංහල Slovenčina Slovenščina Afsoomaali Español Basa Sunda Kiswahili Svenska Тоҷикӣ தமிழ் తెలుగు ไทย Türkçe Українська اردو O‘zbekcha Tiếng Việt Cymraeg isiXhosa יידיש Yorùbá Zulu