Les chefs de la diplomatie des grandes puissances du G7 ont sommé, jeudi, 29 décembre, les talibans de revenir «de toute urgence» sur l’interdiction «irresponsable et dangereuse» imposée aux femmes de travailler dans des ONG, qui risque d’affecter «des millions d’Afghans». Dans un communiqué, les ministres des Affaires étrangères du groupe des pays industrialisés (Etats-Unis, France, Canada, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Japon) «appellent les talibans à revenir de toute urgence sur leur décision». Ils se disent «gravement préoccupés» par une «interdiction irresponsable et dangereuse (…) qui met en danger des millions d’Afghans», qui dépendent de l’aide humanitaire pour leur survie. Les talibans, qui ont pris le pouvoir à Kaboul en août 2021 et dont l’autorité n’est pas reconnue par l’essentiel de la communauté internationale, viennent d’interdire à quelques jours d’intervalle aux femmes et aux filles de poursuivre des études universitaires et de travailler dans des ONG nationales ou internationales. De très nombreuses ONG dépendent de leurs employées et ne seront pas en mesure de fonctionner sans elles.
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