C’est jeudi, 18 mai, à son retour de Jacqueville que l’ancien président, pris d’un fort malaise, a fait venir un personnel médical pour constater qu’il fallait vite l’interner à l’hôpital. Le CHU de Treichville l’a donc accueilli dans son service de réanimation avec une assistance respiratoire. Tout ceci sous la supervision du professeur Eholié. Plus de peur que de mal. Il faut dire que du haut de ses 77 ans, avec les multiples coups au bas de la ceinture que ne cesse de lui asséner Alassane Ouattara, à certains moments, il peut être à bout de force. Dans tous les cas, son pronostic vital n’a jamais été engagé bien qu’au PPA-CI, son nouveau parti politique, on avait retenu son souffle. A quelque chose malheur est bon : les hôpitaux d’Abidjan disposent donc d’un plateau technique capable d’accueillir les chefs d’Etat. C’est bon à savoir pour la renommée médicale de ce pays et pour les caisses de l’Etat. On devrait réduire les expatriations sanitaires. Pendant son premier mandat, Alassane Ouattara se rendait toutes les trois semaines à l’hôpital parisien du Val de Grâce pour ses problèmes cardiaques, parfois sans tenir les Ivoiriens informés. Avec l’avènement de la Coupe d’Afrique des nations en 2024, le plateau technique en Côte d’Ivoire devra obéir aux normes FIFA, ce qui va certainement aider le pays à élever le niveau de ses infrastructures sanitaires, dans les villes où se déroulera la compétition. Cette exigence fait du bien aujourd’hui au Cameroun où on compte plusieurs hôpitaux avec un équipement dernier cri, mais avec malheureusement un fort déficit des unités capables de donner de bons soins primaires sur toute l’étendue du territoire. Il faut dire que ce niveau de soins n’intéressait pas la FIFA, ni la CAN pour leur compétition qui n’était organisée que dans des capitales régionales et politique.
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