Les secrétaires généraux des Nations-Unies et de l’Oua doivent être embarrassés par le jugement à la Salomon que leur Commission a délivré sur l’Affaire qui oppose le gouvernement togolais à Amnesty International, concernant son rapport sur « les massacres au Togo » en 1998. Après avoir effectué plusieurs enquêtes au Togo, au Bénin, au Ghana et en Suisse, cette Commission (qui fut désignée par l’Onu et l’Oua) n’a donné ni raison ni tort à aucune des deux parties. Mais à la lecture du rapport qu’elle a elle-même confectionné, on se demande si ce refus de prendre position n’est pas une sorte de désavoeu porté à Amnesty International dont les faits reprochés au gouvernement togolais n’ont pu être élucidés et prouvés lors de l’enquête ? Il s’agit d’une affaire extrêmement grave et complexe dont voici en gros les faits.
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