COVID 19 EN FRANCE : LES LANGUES SE DÉLIENT (ET BRAVENT LA MAFIA PHARMACEUTIQUE)

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Le professeur, Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de Garches, en région parisienne, et grand spécialiste des vaccins, devenu persona non grata des plateaux télé depuis quelques mois, va-t-il (re)devenir fréquentable ? En effet, pour s’être élevé de façon virulente contre ce qu’il estime être la supercherie du « vaccin » anti-Covid 19 et la gestion de la crise par Emmanuel Macron, il s’est vu proscrire les médias français (subventionnés par les pouvoirs publics) et totalement aux ordres.

Sur le fond, que dit le professeur Perronne pour qu’il soit si ostracisé ? Interviewé, dimanche, 21 novembre, sur le plateau de CNews par Ivan Rioufol (bravo pour son courage), il a pu délivrer un message qui, du fait qu’il vient d’un grand spécialiste, n’a pu que conforter les anti-vaccins covid 19 (sur notre photo les professeurs Christian Perronne et Didier Raoult, deux très grands professeurs de médecine, mais haïs parce qu’ils ne sont pas alignés derrière les laboratoires pharmaceutiques).

« Si c’était pas aussi dramatique, je rigolerais, parce qu’il n’y a pas de cinquième vague, l’épidémie est quasiment terminée, en France, a-t-il affirmé. On est sortis de la crise […] Tous les pays du monde qui n’ont pas vacciné n’ont plus d’épidémie. » A l’appui de sa thèse, un graphique présentant l’évolution du nombre de décès attribués au Covid 19, en 2021 : effectivement, la courbe s’est manifestement effondrée.

« Tous les pays qui ont vacciné de façon massive voient des rebonds… » « En Grande-Bretagne, les gens vaccinés meurent quatre fois plus du Covid que les non-vaccinés », poursuit le docteur Perronne. Et d’ajouter : « Je suis à fond pour le vaccin, mais là, on nous a vendu un produit qui n’est pas un vaccin ».

Selon le professeur Perronne, un vaccin protège de la maladie. Or, on voit, affirme-t-il, que les vaccinés font autant de maladies que les autres. Un vaccin, ça évite de porter le virus et de le transmettre. Or, on voit que les vaccinés transmettent autant, voire, plus que les autres. Un vaccin, ça protège contre les formes graves. Or, on voit que la grande majorité des gens en réanimation (contrairement aux dires des spécialistes pro-vaccins sur les plateaux de télévision) sont des gens vaccinés. Ce dernier argument est pourtant le principal avancé par le gouvernement pour justifier la vaccination : celle-ci empêche les formes graves. Non, estime le professeur Perronne : « Au final, le vaccin ne protège pas contre les formes les plus graves, c’est l’inverse qui se produit, […] On nous impose un vaccin qui ne marche pas, il suffit de regarder la carte du monde : dans tous les pays pauvres qui n’ont pas pu s’acheter le vaccin, l’épidémie est terminée ».

Le livre du professeur Perronne montre son niveau de courage.

Quant à l’obligation vaccinale, le professeur Perronne estime que « toutes les lois qui ont soutenu ce vaccin sont totalement illégales, bien que le Conseil d’Etat ait dit qu’il n’y a pas de problème : on ne peut pas obliger des gens à être vaccinés avec un produit qui est toujours en phase expérimentale, en phase 3, c’est totalement interdit par le Code de Nuremberg ».

Si le professeur Perronne dit vrai, cela soulève alors un questionnement éthique majeur : comment accepter que le gouvernement français puisse contraindre des gens à se faire injecter un produit en phase de test, sans requérir leur consentement éclairé ?

« Ce produit n’est pas un vaccin : la plus grande imposture de cette histoire est d’avoir appelé ça des vaccins. Ce sont des substances expérimentales qui vont modifier vos cellules, c’est comme si on téléchargeait un logiciel pour modifier vos cellules ». Voilà qui est dit et cette fois, il ne s’agit plus du (célèbre et sympathique) professeur, Didier Raoult, la bête noire des laboratoires pharmaceutiques.

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