FRANCE : L’ancien président Nicolas Sarkozy est déjà incarcéré à la prison de la Santé à Paris

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L’ancien président, Nicolas Sarkozy, est pensionnaire de la prison, La Santé, dans le 13e arrondissement de Paris, depuis 10 heures (8 heures GMT), ce mardi, 21 octobre. Cet emprisonnement fait suite à sa condamnation à cinq ans de prison avec mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire dans l’affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Cette relation incestueuse avec feu le frère guide est, aujourd’hui, à l’origine de la descente en enfer de la Libye (jadis prospère qui n’est plus que l’ombre d’elle-même), mais aussi, de tout le Sahel avec la prolifération du djihadisme que les pays concernés ont du mal à contenir malgré parfois des appuis internationaux. Les conséquences de cette relation Sarkozy-Kadhafi n’ont pas été examinées par les tribunaux français, mais il ne reste pas moins vrai que si on avait versé dans le dossier ce versant de l’affaire, la sanction aurait été beaucoup plus lourde. Dans son éditorial du numéro 549 d’octobre d’Afrique Education (chez les marchands de journaux et en vente sur la boutique de la revue), le professeur, Paul Tédga, toujours à l’écoute des peuples d’Afrique, a fait une analyse qui mérite qu’on y consacre un peu de son temps. Ci-dessous, l’éditorial en question.

Le numéro 549 d’octobre d’Afrique Education est en vente chez les marchands de journaux. On peut aussi l’acheter sur la boutique de la revue. Faire www.afriqueeducation.com et suivre les indications jusqu’à l’obtention du pdf.

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Cet article a 2 commentaires

  1. Nestor

    Ce journal qui parle pour l’Afrique aux africains, il est très bien documenté !!
    cependant, nous voulons lire les commentaires des pseudos élections en Afrique!

    1. Tedga.P

      Deux grands pays africains sont concernés par votre remarque : la Côte d’Ivoire et le Cameroun. Nous avons beaucoup parlé de la Côte d’Ivoire ces trois derniers mois et ça continue avec le numéro actuellement chez les marchands de journaux et même dans celui à venir en novembre (numéro 550). Pour le Cameroun, c’est différent car le jeu politique est trouble dans ce pays et il n’est pas sûr qu’on aurait eu la rigueur nécessaire qui caractérise nos écrits. Nous avons préféré faire le dos rond. Cela dit, les résultats de cette présidentielle à diffuser jeudi 23 octobre prochain sont déjà en notre possession. Nous en parlerons dans le numéro de novembre sans faute.

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