TUNISIE : Journée de colère étudiante après des violences policières

Date

A l’occasion de cette « journée de colère », un nouveau rassemblement était prévu, à la mi-journée, sur l’avenue Habib Bourguiba, où un important dispositif de sécurité était, déjà, en place en matinée.

Un dirigeant de l’Union générale des étudiants de Tunisie (UGET), Nidhal Khadraoui, a dénoncé les « violences policières » ayant émaillé la manifestation de mardi, devant la présidence du gouvernement.

« Quarante-deux étudiants ont été blessés, dont, cinq grièvement », a-t-il affirmé.

La contestation de ces étudiants portait sur un décret ministériel modifiant les conditions d’accès au concours d’entrée à l’Institut supérieur de la magistrature (ISM).

Dans une déclaration à la radio privée, Mosaïque FM, le ministre de l’Intérieur, Hédi Majdoub, a démenti toute violence de la part des forces de l’ordre, affirmant que les heurts avaient opposé deux groupes d’étudiants.

« Aucune enquête n’a été ouverte sur ce sujet parce qu’il n’y a eu aucune agression sur les étudiants en droit de la part de l’institution sécuritaire », a-t-il dit.

Envie d’accéder aux contenus réservés aux abonnés ?

More
articles

Cookie settings
Cookies are used on this website. These are needed for the operation of the website or help us to improve the website.
Allow all cookies
Save selection
Individual settings
Individual settings
This is an overview of all cookies used on the website. You have the option to make individual cookie settings. Give your consent to individual cookies or entire groups. Essential cookies cannot be disabled.
Save
Cancel
Essential (1)
Essential cookies are needed for the basic functionality of the website.
Show cookies
×
×

Panier